[article] | Titre : | Après la dissolution ratée, le référendum perdu. Chirac : plus dure sera la fin. - Il a promis une "nouvelle impulsion ". Mais la victoire du non, dont le président porte sa part de responsabilité, risque de transformer en calvaire les deux dernières années de son mandat ;" C'EST LA GAUCHE QUI EST VENUE SUR NOS THEMES" ; Les paradoxes du non de droite ; Bové et ses amis ont monopolisé les médias. Pourtant Villiers, Le Pen et les souverainistes de droite ont réussi à humilier Chirac ; Il est plus que jamais candidat à la présidentielle. Non = oui à Sarko ! ; Pour Sarkozy, c'est le rejet du couple Chirac-Raffarin qui a provoqué la victoire du non. Il n'y a donc aucune raison que la défaite de la droite ne lui profite pas. | | Type de document : | Article de presse | | Auteurs : | Hervé ALGALARRONDO | | Titre du périodique : | Le Nouvel observateur | | Numéro : | n° ind | | Date de parution : | 02/06/2005 | | Mots-clés : | REFERENDUM ; UNION EUROPEENNE ; CONSTITUTION ; CHIRAC JACQUES ; SARKOZY NICOLAS | | Permalink : | https://documentation.departement06.fr/index.php?lvl=notice_display&id=247918 |
[article] Après la dissolution ratée, le référendum perdu. Chirac : plus dure sera la fin. - Il a promis une "nouvelle impulsion ". Mais la victoire du non, dont le président porte sa part de responsabilité, risque de transformer en calvaire les deux dernières années de son mandat ;" C'EST LA GAUCHE QUI EST VENUE SUR NOS THEMES" ; Les paradoxes du non de droite ; Bové et ses amis ont monopolisé les médias. Pourtant Villiers, Le Pen et les souverainistes de droite ont réussi à humilier Chirac ; Il est plus que jamais candidat à la présidentielle. Non = oui à Sarko ! ; Pour Sarkozy, c'est le rejet du couple Chirac-Raffarin qui a provoqué la victoire du non. Il n'y a donc aucune raison que la défaite de la droite ne lui profite pas. In Le Nouvel observateur - n° ind - 02/06/2005 [Article de presse] / Hervé ALGALARRONDO. |
Après la dissolution ratée, le référendum perdu. Chirac : plus dure sera la fin. in Le Nouvel observateur, n° ind (02/06/2005)
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