[article] VACHE FOLLE. POURQUOI LES SCIENTIFIQUES NE SONT SURS DE RIEN In Le Point - n° 1467 - 01/01/2000 [Article de périodique] . - p. 102 à 117. Mots-clés : | ENCEPHALOPATHIE SPONGIFORME ; ELEVAGE ; SANTE PUBLIQUE ; SECURITE SANITAIRE ; ALIMENTATION ; PREVENTION SANITAIRE ; DEPISTAGE ; SECURITE ALIMENTAIRE | Résumé : | Personne ne peut aujourd'hui garantir l'absence d'ESB dans la chaîne alimentaire. Les tests ne concernent que les animaux à risque. Résutat : cette année, seulement 2% du cheptel bovin va être testé. Les tests actuels ne permettent de déceler une vache folle qu'en fin d'incubation, alors que l'incubation dure en moyenne cinq ans pendant lesquels l'animal est potentiellement contaminant. L'alimentation bovine contient toujours des farines animales, que l'on continue de servir aux volailles et aux porcs. Les filières de l'équarrissage à bas risque et à haut risque sanitaire cohabitent souvent sur le même site. Deux des dix-huit fabricants français de farines ne respectent pas le protocole d'inactivation du prion. Le sang d'un homme atteint de la maladie de Creutzfeld-Jakob pourrait être contaminant avant que n'apparaissent les premiers symptômes. Les hypermarchés enregistrent une baisse des achats de viande bovine. Les professionnels ne s'estiment pas responsables de la propagation de l'ESB et sont divisés sur les remèdes à apporter. | Permalink : | https://documentation.departement06.fr/index.php?lvl=notice_display&id=128753 |
[article] Titre : | VACHE FOLLE. POURQUOI LES SCIENTIFIQUES NE SONT SURS DE RIEN | Type de document : | Article de périodique | Titre du périodique : | Le Point | Numéro : | n° 1467 | Date de parution : | 01/01/2000 | Article en page(s) : | p. 102 à 117 | Ancienne cote : |
PERD0509 |
Mots-clés : | ENCEPHALOPATHIE SPONGIFORME ; ELEVAGE ; SANTE PUBLIQUE ; SECURITE SANITAIRE ; ALIMENTATION ; PREVENTION SANITAIRE ; DEPISTAGE ; SECURITE ALIMENTAIRE | Résumé : | Personne ne peut aujourd'hui garantir l'absence d'ESB dans la chaîne alimentaire. Les tests ne concernent que les animaux à risque. Résutat : cette année, seulement 2% du cheptel bovin va être testé. Les tests actuels ne permettent de déceler une vache folle qu'en fin d'incubation, alors que l'incubation dure en moyenne cinq ans pendant lesquels l'animal est potentiellement contaminant. L'alimentation bovine contient toujours des farines animales, que l'on continue de servir aux volailles et aux porcs. Les filières de l'équarrissage à bas risque et à haut risque sanitaire cohabitent souvent sur le même site. Deux des dix-huit fabricants français de farines ne respectent pas le protocole d'inactivation du prion. Le sang d'un homme atteint de la maladie de Creutzfeld-Jakob pourrait être contaminant avant que n'apparaissent les premiers symptômes. Les hypermarchés enregistrent une baisse des achats de viande bovine. Les professionnels ne s'estiment pas responsables de la propagation de l'ESB et sont divisés sur les remèdes à apporter. | Permalink : | https://documentation.departement06.fr/index.php?lvl=notice_display&id=128753 |
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