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CHAPELLES (LES) A FAÇADES OUVERTES ET PEINTES DES ALPES-MARITIMES, XVe-XVIe SIECLES.- / Claude PEYNAUD in Provence historique, n° ind (oct)
[article] CHAPELLES (LES) A FAÇADES OUVERTES ET PEINTES DES ALPES-MARITIMES, XVe-XVIe SIECLES.- In Provence historique - n° ind - 05/05/2014 [Article de périodique] / Claude PEYNAUD . - pp. 315-331, fig., bibliogr.
Résumé : De petits édifices religieux furent construits en montagne, le plus souvent hors les murs, durant à peine un siècle (1491-1535). Ces chapelles ouvertes ont par la suite été modifiées, fermées, réemployées. Leur étude va de pair avec celle des peintres qui les ont ornées, et celle de quelques sculpteurs.On détaille l'architecture initiale des chapelles. On dégage des règles de répartition des programmes peints, en une époque de crise religieuse profonde. Parmi les peintres identifiés, on peut citerGérard Nadale, Curaud Brevesi, Jacques Canavesio, André da Cella, Jean Baleison. Ces chapelles constituent un patrimoine unique, fort et original dans les Alpes méridionales. Permalink : https://documentation.departement06.fr/index.php?lvl=notice_display&id=51403 [article]
Titre : CHAPELLES (LES) A FAÇADES OUVERTES ET PEINTES DES ALPES-MARITIMES, XVe-XVIe SIECLES.- Type de document : Article de périodique Auteurs : Claude PEYNAUD Titre du périodique : Provence historique Numéro : n° ind Date de parution : 05/05/2014 Article en page(s) : pp. 315-331, fig., bibliogr. Ancienne cote : ADAM USPERA 0006 Résumé : De petits édifices religieux furent construits en montagne, le plus souvent hors les murs, durant à peine un siècle (1491-1535). Ces chapelles ouvertes ont par la suite été modifiées, fermées, réemployées. Leur étude va de pair avec celle des peintres qui les ont ornées, et celle de quelques sculpteurs.On détaille l'architecture initiale des chapelles. On dégage des règles de répartition des programmes peints, en une époque de crise religieuse profonde. Parmi les peintres identifiés, on peut citerGérard Nadale, Curaud Brevesi, Jacques Canavesio, André da Cella, Jean Baleison. Ces chapelles constituent un patrimoine unique, fort et original dans les Alpes méridionales. Permalink : https://documentation.departement06.fr/index.php?lvl=notice_display&id=51403 HABITAT (L') DISPERSE DANS L'EXTREME SUD-EST DE LA FRANCE, AU TEMPS DES CASTELLARAS, DE L'EMPIRE ROMAIN ET DU HAUT MOYEN-AGE IN : BASTIDES, BORIES, HAMEAUX, L'HABITAT DISPERSE DE PROVENCE. ACTES DES 2EMES JOURNEES D'HISTOIRE REGIONALE, MOUANS-SARTOUX, 15-16 MARS 1985.- / Pierre BODARD (1986/01/01)
Titre : HABITAT (L') DISPERSE DANS L'EXTREME SUD-EST DE LA FRANCE, AU TEMPS DES CASTELLARAS, DE L'EMPIRE ROMAIN ET DU HAUT MOYEN-AGE IN : BASTIDES, BORIES, HAMEAUX, L'HABITAT DISPERSE DE PROVENCE. ACTES DES 2EMES JOURNEES D'HISTOIRE REGIONALE, MOUANS-SARTOUX, 15-16 MARS 1985.- Type de document : Tiré à part Auteurs : Pierre BODARD ; Centre national de la recherche scientifique (CNRS) Mention d'édition : Mouanss-Sartoux, CACO, 1986 Année : 1986/01/01 Pages : PP. 61-68, bibliogr. Ancienne cote : ADAM III 6110 Résumé : Analyse du passage de l'habitat antique dispersé, non protégé, au village regroupé (castrum). Une bibliographie raisonnée complète ce travail. Permalink : https://documentation.departement06.fr/index.php?lvl=notice_display&id=6391 HABITAT (L') DISPERSE DANS L'EXTREME SUD-EST DE LA FRANCE, AU TEMPS DES CASTELLARAS, DE L'EMPIRE ROMAIN ET DU HAUT MOYEN-AGE IN : BASTIDES, BORIES, HAMEAUX, L'HABITAT DISPERSE DE PROVENCE. ACTES DES 2EMES JOURNEES D'HISTOIRE REGIONALE, MOUANS-SARTOUX, 15-16 MARS 1985.- [Tiré à part] / Pierre BODARD ; Centre national de la recherche scientifique (CNRS) . - Mouanss-Sartoux, CACO, 1986 . - 1986/01/01 . - PP. 61-68, bibliogr.
Résumé : Analyse du passage de l'habitat antique dispersé, non protégé, au village regroupé (castrum). Une bibliographie raisonnée complète ce travail. Permalink : https://documentation.departement06.fr/index.php?lvl=notice_display&id=6391 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité CGNTEC06009570-1 ADAM III 6110 OUVRAGE Centre de documentation Exclu du prêt GEN_00000787-2 CEPAM-CNRS 172/BAS 10890 OUVRAGE Centre extérieur Exclu du prêt COMPTE-RENDU DE LA COURSE DU 15 SEPTEMBRE.- / Léon BERTRAND in Bulletin de la société géologique de France, n° 4ème série, T. 2 (1902)
[article] COMPTE-RENDU DE LA COURSE DU 15 SEPTEMBRE.- In Bulletin de la société géologique de France - n° 4ème série, T. 2 - 01/01/1902 [Article de périodique] / Léon BERTRAND . - PP. 697-704, coupes, Pl. 39 et 40.
(Comptes-rendus des excursions de la réunion extraordinaire de la Société Géologique de France dans les Alpes-Maritimes du 9 au 19 Septembre 1902)
Résumé : Les participants, partis de St-Martin-Vésubie, descendent la vallée de la Vésubie. Ils suivent jusqu'au Sud de Lantosque le développement de l'éperon triasique. C'est dans cet affleurement triasique que l'axe tectonique du Massif du Mercantour vient se terminer avec une direction presque Nord-Sud. Au pont de Loda, la vallée rentre dans le trias, qu'elle avait quitté à Lantosque. La Société a abandonné la route nouvelle du fond de la vallée de la Vésubie et a pris l'ancienne route de Nice. Un peu avant Levens, elle a observé un poudingue à 500 mètres d'altitude, témoin le plus élevé connu des poudingues pliocènes. En approchant de Nice, les chevauchements de la Vésubie inférieure s'effacent progressivement. Permalink : https://documentation.departement06.fr/index.php?lvl=notice_display&id=48862 [article]
Titre : COMPTE-RENDU DE LA COURSE DU 15 SEPTEMBRE.- Type de document : Article de périodique Auteurs : Léon BERTRAND Titre du périodique : Bulletin de la société géologique de France Numéro : n° 4ème série, T. 2 Date de parution : 01/01/1902 Article en page(s) : PP. 697-704, coupes, Pl. 39 et 40 Résumé : Les participants, partis de St-Martin-Vésubie, descendent la vallée de la Vésubie. Ils suivent jusqu'au Sud de Lantosque le développement de l'éperon triasique. C'est dans cet affleurement triasique que l'axe tectonique du Massif du Mercantour vient se terminer avec une direction presque Nord-Sud. Au pont de Loda, la vallée rentre dans le trias, qu'elle avait quitté à Lantosque. La Société a abandonné la route nouvelle du fond de la vallée de la Vésubie et a pris l'ancienne route de Nice. Un peu avant Levens, elle a observé un poudingue à 500 mètres d'altitude, témoin le plus élevé connu des poudingues pliocènes. En approchant de Nice, les chevauchements de la Vésubie inférieure s'effacent progressivement. Permalink : https://documentation.departement06.fr/index.php?lvl=notice_display&id=48862